De Morgane Raoux
Adaptation et mise en scène Julie Annen
Morgane Raoux, alias Madame Clarinette et sa complice Olga Vassileva, nous invitent en musique à découvrir l’histoire d’Ama, une petite fille née dans un grand orchestre symphonique.
La petite Ama grandit entourée de violons, de contrebasses, de trompettes et nombre d’autres instruments, bercée par l’amour de sa maman cheffe d’orchestre et dorlotée par les musiciens. L’orchestre, c’est sa famille, son terrain de jeux, sa maison.
Ama suit les tournées mondiales. À chaque concert, elle écoute, observe et rêve depuis les coulisses. Elle remarque que chaque symphonie, chaque concerto lui évoque une histoire, et qu’elle arrive à mettre des mots sur les plus grandes œuvres du répertoire en les transformant en chansons… Mais il manque une chose à Ama : son papa. Et si elle partait à sa recherche ?
Ce spectacle, plein d’aventure et d’émotion, nous fait aborder de manière ludique et sensible les grands tubes de la musique classique.
Avec Morgane Raoux et Olga Vassileva
Voix Romane Louis
Arrangements Olga Vassileva
Création lumières Marc Defrise
Scénographie Thibaut De Coster,
Prise de son Marc Doutrepont
Assistanat à la mise en scène Viviane Thiébaut
Illustration Maud Legrand
Coproduction Madame Clarinette et Cie (France) et Bande de Canailles ! (Belgique). Le spectacle a reçu l’aide à la création du Ministère de la Culture de la Fédération Wallonie Bruxelles. Spectacle soutenu par la Compagnie Rupille 7 (Suisse), la Ville du Chesnay-Rocquencourt (France), la Maison qui Chante et le Théâtre de Poche de Bruxelles (Belgique).
Une petite fille, Ama, naît au sein d’un orchestre dirigé par sa mère. L’orchestre est sa famille, son foyer, son identité. Néanmoins, il manque une chose à Ama : un papa.
Le spectacle entraine le public à la suite d’Ama à la recherche de cette part manquante d’elle même. Un vide qui ne peut se combler de l’intérieur mais bien en cherchant en dehors du connu. Un papa qui pourra l’emmener en dehors des salles de spectacles, dans un univers totalement différent du sien et pourtant fondamentalement nécessaire à son équilibre. À l’aide d’une clarinette et d’un piano, les interprètes traverseront les grands airs de la musique classique à la suite de la petite Ama.
S’adresser au jeune public, c’est toujours s’adresser à soi, à l’enfant en soi, à celui qui nous écoute en l’autre. Le monde de l’enfance est un monde sensible où les grandes théories, aussi intelligentes soient elles, se heurtent, se fracassent même parfois, sur des émotions brutes, indomptées, radicales.